Le Berry et ses bourrées

Ces documents audiovisuels (1 à 6 visuels et 7 enregistrements sonores) accompagnent l’ouvrage «Le Berry et ses bourrées» (Yves Guilcher, Solange Panis, Naïk Raviart, Geste Editions 2016, réédition La Geste 2025). Enregistrés entre 1946 et 1962, ils donnent quelque idée de ce qui a pu être recueilli sur le terrain au lendemain de la seconde guerre mondiale.

Un chapitre de l’ouvrage présente de façon détaillée ces documents et les contextes dans lesquels ils ont été enregistrés ou produits. Nous le reproduisons ici.

1 – Hélène et Jean-Michel Guilcher
Paysages et semailles en Berry en 1962 filmés par J.M. Guilcher.

2 – Danseurs de bourrée aux Grandes Poteries en 1949 : rushes non retenus au montage, du film « Danses berrichonnes », conservés toutes ces années par Roger Sanchez, cousin de Renée Panis, et confiés à CICLIC.

3 – «Danses berrichonnes» : film à usage pédago­gique tourné aux Grandes Poteries en 1949 à l’initiative de Pierre Panis. Original conservé aux archives de l’INSEP.

4 – Concours de bourrées au Festival des Poteries en 1961. Film de Jacques Griffon confié à CICLIC.

5 – Film de Jean-Michel Guilcher à St Gaultier en 1962 : M. Lucien Baron danse seul des variations de bourrée.

6 – Images au ralenti de Pierre Panis dansant avec Daniel Perrin lors d’une fête à La Châtre en 1946. Film de Roger Pearron confié à CICLIC.

7 – Enregistrement réalisé par Madeleine et Jean Surnom aux Grandes Poteries vers 1955 :
Ange Alabeurthe chante «
 à lanlère » la mélodie de la bourrée mussée.
— Enquête collective sous la direction de Pierre Panis en 1957 aux Grandes Poteries :
Bourrée jouée à l’harmonica par un homme surnommé «
 Radar » enregistrée en situation de danse.
Couplet de bourrée : «
 Sont noirs, sont pas gris », chanté d’abord par Albert Lefèvre, dit « Batiau » puis par Madame Robin.
— Enquête collective sous la direction de Pierre Panis en 1965 aux Grandes Poteries
«
 La bergère de Pougand », chantée par Maurice Amelot
« Le trèfle à Déroulette »
« La Chapelotte »
« Y a quarante ans 
», chanté par Lucien Cartier.
Tous ces moments ont été enregistrés à l’auberge Panarioux lors de veillées avec les habitants du hameau et des environs proches.